Marie, Mère des Douleurs 8 juillet 2011
114 – L’apostasie est généralisée. Le Père est très offensé par ses enfants. Des sacrilèges au Saint Sacrement de l’autel. La paix soit avec toi, mon enfant. Signe-toi et écris, couverte du Précieux Sang de mon divin Fils, Jésus Christ le Seigneur.
Je suis la Mère des Douleurs. Mon Coeur Immaculé est à nouveau transpercé à la vue de cette grande indifférence dans les coeurs d’un grand nombre d’enfants. L’apostasie est généralisée, on a perdu la
foi et le sens du sacré. Tout est rendu normal, rien n’est mal, on dirait même que le bien est rendu mauvais, on ne veut rien savoir des Commandements (Ex 20). Entendre parler de Dieu, de Jésus ou de Marie sa Mère, dérange. On ridiculise tout, on se moque de l’Église, on
blasphème partout. Oh! mes enfants, je suis très affligée car la coupe déborde ! Le Père est tellement offensé par ses enfants qu’il a créés et qu’il aime tant ! Et vous le savez bien, mes enfants, on ne se moque pas de Dieu (Gal 6, 7). Jésus, mon doux Jésus est tellement outragé. On commet de grands sacrilèges envers son Auguste Personne dans le
très Saint Sacrement de l’autel.
Les saints anges pleurent, ils sont très affligés de ce manque de respect à l’égard de la Présence réelle de Jésus dans la sainte Eucharistie. Ils sont en adoration continuelle devant tous les tabernacles
de la terre, car mon divin Fils est si oublié. Il attend une visite de ses enfants qui ne viennent pas. Il est seul. Il est là en quête d’une visite et hélas ! on l’oublie, on ne pense plus à lui, on ne croit plus en lui, on doute de lui, on ne veut rien savoir de lui. Lui qui pourtant vous a tout donné par amour pour vous sauver. Amen, amen, en vérité je vous le dis, mes enfants d’amour, priez, priez, priez pour recevoir la grâce de la persévérance finale, pour être dans le tout petit reste des enfants qui iront jusqu’au bout dans la foi, la confiance, l’abandon et surtout dans l’obéissance aux lois de Dieu, pour être encore dans le petit reste quand mon Fils reviendra et qu’il dira : « Venez les bénis de mon Père. » (Mt
25, 34)
Oui, mes enfants d’amour, récitez le saint Rosaire, ne sous-estimez pas sa très puissante protection, c’est l’arme la plus puissante pour ces temps qui sont les derniers. À la fin, mon Coeur Immaculé triomphera.
Merci, mes enfants d’accueillir mes paroles. Soyez bénis au nom du Père, au nom du Fils et au nom du Saint-Esprit. Amen, alléluia.