Votre Sacré-Coeur de Jésus 5 août 2011
Premier vendredi du mois
127 – Le Règne de la paix viendra par le triomphe du Coeur Immaculé de Marie.
La paix soit avec toi, mon enfant. Signe-toi et écris, couverte de mon Précieux Sang, pour la Gloire de Dieu, mon Père.
Oui, mon enfant, en ce grand jour, je viens avec mon Sacré-Coeur transpercé par la souffrance de voir tous ces enfants qui ne veulent pas ouvrir leur coeur et accueillir les grâces que ma très douce Maman veut y déposer.
On continue de la ridiculiser, elle, la Reine du Ciel et de la terre, elle, le Trône de la sagesse, elle, la Mère de Dieu. On continue d’ignorer ses demandes, on n’accueille pas ses paroles, on ne croit plus à son Immaculée Conception. Combien de blasphèmes elle doit recevoir ! Elle pleure, oui, mes enfants, elle pleure… Les statues de ma très Sainte Mère pleurent des larmes de sang un peu partout dans le monde et cela est un autre signe de la grande tribulation qui est à vos portes.
Mais hélas ! on se moque des larmes que verse l’auguste Mère de Dieu…
Vous avez eu des signes avant-coureurs avec ces oiseaux morts, avec les poissons morts sur les plages un peu partout dans le monde. Elle vous avait dit : priez, priez, priez, mes enfants, car le calvaire de l’humanité est bel et bien commencé et ses enfants n’ont pas pris au sérieux ses paroles, sauf le tout petit reste… Et cela me cause une très grande douleur… Elle vous appelle à la conversion, à la prière, à l’adoration, au sacrement du Pardon pour
être en état de grâce, mais hélas ! on fait la sourde oreille, on pense à tout, sauf à l’essentiel, on a le temps pour tout, sauf pour prier, sauf pour adorer… pour cela
on est trop fatigué, on n’a plus de temps. Mes enfants, en vérité je vous le dis : je
dois permettre qu’arrivent des événements très douloureux sur cette terre à cause des nombreux péchés du monde. Je suis votre Jésus, votre Seigneur et votre Dieu, et tout cela me cause une grande douleur. En plus, le fait de voir ma très Sainte Mère si affligée transperce mon Coeur d’une façon atroce.
J’aimerais tant qu’on l’aime, qu’on la respecte, qu’on la vénère comme la Mère de Dieu.
C’est grâce à elle que je suis venu dans votre monde, c’est par son « fiat » que la Rédemption du genre humain a été possible : dès cet instant, je suis
descendu du Ciel par l’oeuvre et la grâce de l’Esprit Saint qui l’a couverte de son ombre pour recevoir la Lumière du monde (Jn 8, 12), le Verbe de Dieu le Père, dans son sein virginal. Ce sera à nouveau par elle, par le triomphe de son Cœur Immaculé que je reviendrai dans toute la splendeur de ma Gloire pour établir mon Règne de paix et habiter parmi tous les enfants de bonne volonté, pour que la Divine Volonté de Dieu le Père circule librement sur la terre comme au Ciel.
Merci, mes enfants d’amour, merci à vous mes tout-petits d’ouvrir vos coeurs et
d’accueillir cette manne céleste. Et moi aussi je vous dis : priez, priez, priez mes enfants pendant que vous en avez encore le temps. Priez pour mon Vicaire, le Pape Benoît XVI. Soutenez-le, car il a vraiment besoin de vos prières. Priez pour les évêques, les cardinaux, pour tous les prêtres et pour les consacrés. Je vous aime. Je vous bénis au nom du Père, au nom du Fils et au nom du Saint-Esprit. Amen, alléluia.